aguère, elle était aussi déclinée avec du gibier : perdreau et faisan... Car, autrefois, dans la plupart des villages du Roussillon, tout bon Catalan qui se respectait, était plus ou moins braconnier par nécessité, par goût du risque, par choix et audace à braver les interdits... Et ce, au nez des gardes champêtre magnanimes et à la barbe de la Maréchaussée peu commode.